L’article explique que nous avons tendance à prêter des intentions humaines aux IA, un biais d’anthropomorphisme. L’IA ne comprend pas ce qu’elle produit : elle enchaîne des mots en fonction des probabilités, sans sens ni émotions véritables. Nous surestimons sa pensée et sa fiabilité, oubliant qu’elle génère du langage statistiquement cohérent mais potentiellement erroné. Son utilité reste indéniable, mais le jugement et la vérification doivent toujours revenir à l’humain...
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